c'est un avc qu'il a eu ? peut être qu'a l'hopital il vont le retaper assez pour qu'il rentre chez lui avec des aides à domiciles , infirmières , kiné ..............je vois des personnes qui sont chez eu avec toutes ces aides dans des états pas possible mais par contre il faut qu'ils ne perdent pas trop la tête et qu'ils ne boivent pas trop , et si les enfants habitent pas loin ils faut qu'ils aident aussi car une maison de retraite médicalisée côute très cher
normalement à l'hopital il ya une assistante sociale qui peut t'informer ou tu téléphones au conseil général
et si tu peux faire valoir qu'il ne sait pas occuper de vous !!! il faut voir avec le juge des tutelles , car je veux pas te décourager mais il est jeune et tu pourrais te retrouver à payer très longtemps , donc renseignes toi bien avant de payer
et bon courage
http://www.droitissimo.com/forum/famill ... mais-elevecopier coller de droitissimola réponse ministérielle n° 77418, publiée au Journal officiel de l'Assemblée Nationale du 29 juin 2010, dont je reprodus ci-après le texte intégral:
" En application des articles 205 et 207 alinéa premier du code civil, les enfants sont débiteurs d'une obligation alimentaire vis-à -vis de leurs parents, et réciproquement, dès lors que l'un d'entre eux se trouve dans une situation de besoin. Néanmoins, cette solidarité familiale ne trouve plus à s'appliquer lorsque le créancier a manqué gravement à ses obligations envers le débiteur. Dans cette hypothèse, le second alinéa de l'article 207 du code civil prévoit que le juge peut décharger le débiteur de tout ou partie de son obligation alimentaire. La loi prévoit des situations dans lesquelles le débiteur sera automatiquement déchargé de son obligation, sauf décision contraire du juge. Tel est le cas de l'article 379 du code civil qui vise le retrait total de l'autorité parentale ou de l'article L. 132-6 du code de l'action sociale et des familles qui vise le retrait judiciaire du milieu familial pendant une durée déterminée. Au-delà de ces cas particuliers, il appartient au débiteur de l'obligation alimentaire de rapporter la preuve de l'indignité du créancier. Celle-ci peut résulter d'un manquement à une obligation matérielle ou morale et il n'est pas indispensable que les faits à l'origine du manquement aient été judiciairement constatés. L'existence et la gravité du manquement relèvent du pouvoir souverain d'appréciation des juges du fond. C'est ainsi que les juges ont estimé que constituait un manquement grave l'abandon matériel et moral de ses enfants par une mère qui ne s'est jamais occupé d'eux et n'a jamais exercé son droit
de visite, l'alcoolisme d'un père qui a manifesté un désintérêt total pour sa famille ou l'absence de relations d'une mère avec sa fille durant plus de 40 ans. "
En clair, il vous est possible d'échapper à cette obligation alimentaire, mais seulement après avoir sollicité et obtenu l'accord du juge.
Bon courage.
Cordialement.