Bébés noyés puis congelés

Elle est passée aux aveux. La femme chez qui deux bébés congelés ont été découverts, dimanche à Ambérieu-en-Bugey (Ain), a avoué avoir tué ses nouveau-nés en les noyant. Elle a reconnu les avoir mis dans son congélateur en 2011 et 2012. Ces précisions ont été apportées par le procureur de la République de Bourg-en-Bresse, Denis Mondon, lors d'une conférence de presse, mardi 26 mars.
Tôt dans la matinée, cette femme d'une trentaine d'années a été amenée chez elle pour être une nouvelle fois entendue sur sa version des faits, indiquent nos confrères de France 3 Rhône-Alpes, qui ont révélé l'information. Les enquêteurs ont planté de grandes tentes dans le jardin afin de poursuivre leurs investigations à l'abri des regards. Ils s'interrogeraient sur l'existence d'un troisième corps de nouveau-né.
La femme avait déjà été condamnée en 2005 à quinze ans de prison après avoir tué son nouveau-né, avec l'aide de sa mère, rappelle France 3 Rhône-Alpes. En 2002, la jeune femme, qui avait dissimulé sa grossesse, avait accouché dans les toilettes. Elle avait ensuite demandé à sa mère de placer le corps dans un sac, qui avait ensuite été abandonné dans une maison en ruines, précise le quotidien régional Le Progrès.
Aucun commentaire tellement c'est inhumain!!
Tôt dans la matinée, cette femme d'une trentaine d'années a été amenée chez elle pour être une nouvelle fois entendue sur sa version des faits, indiquent nos confrères de France 3 Rhône-Alpes, qui ont révélé l'information. Les enquêteurs ont planté de grandes tentes dans le jardin afin de poursuivre leurs investigations à l'abri des regards. Ils s'interrogeraient sur l'existence d'un troisième corps de nouveau-né.
La femme avait déjà été condamnée en 2005 à quinze ans de prison après avoir tué son nouveau-né, avec l'aide de sa mère, rappelle France 3 Rhône-Alpes. En 2002, la jeune femme, qui avait dissimulé sa grossesse, avait accouché dans les toilettes. Elle avait ensuite demandé à sa mère de placer le corps dans un sac, qui avait ensuite été abandonné dans une maison en ruines, précise le quotidien régional Le Progrès.
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