Poésie de la bistouquette.
Comme disait Henri IV, jusqu'Ă 60 ans je croyais que c'Ă©tait un os !
Pauvre « kékette ».
Ma libido pourtant si parfaite.
Est finalement partie en retraite.
Mes jours de gloire sont révolus.
Ma libido ? Finie, foutue !
Ce par quoi tant de femmes ont joui
Ne sert maintenant qu'Ă faire pipi.
Y'avait un temps ou la coquette
Sortait hors de mes bobettes.
Aujourd'hui, c'est presqu'une corvée,
Simplement de la retrouver.
C'en Ă©tait mĂŞme embarrassant
D'la voir grimper en l'air tout l'temps,
MĂŞme le matin quand j'me rasais,
Le nez bien haut, elle me regardait.
Et comme j'avance dans la vie,
Je sens comme une nostalgie
De voir maintenant cette pauvre chose
Me regarder les pieds quand je me chausse.
Pour résumer, dans le temps elle me faisait courir, maintenant je la promène !
Comme c'est bien dit ! Messieurs, ne pleurez pas c'est la vie !
Et vous Mesdames ne riez pas !!!ç'est de votre faute, ça s'entretient.