LAROBINE a Ă©crit:JOSE92 a Ă©crit:Auchan VĂ©lizy :
Peu de stock le matin à l'ouverture, l'employé du rayon demande à tous les clients de revenir à 13h30 car une nouvelle livraison doit intervenir.
A 13h15, une quinzaine de personnes attendent devant le rayon et interpellent chaque employé qui passe devant nous avec des airs très interrogatifs.
Au bout d'une heure, le vendeur du matin revient en indiquant que la livraison n'arriverait pas l'après-midi... Début de pagaille générale avec les 30 personnes qui attendaient (et qui avait 3 à 4 cartes chacune...).
2 membres de la sécurité interviennent ainsi que la responsable du rayon.
Certains clients étaient vraiment très remontés et menaçaient de se servir de la magasin et de partir sans payer...
Certains essayant même de pénétrer dans la réserve pour voir où en était la livraison...
Au final, les noms et numéros de portables ont été pris avec le nombre d'oreillers demandés (1 par carte...) et les oreillers ont été mis à disposition le lendemain, j'ai retiré le miens et le re-crédit a parfaitement fonctionné.
Opération très mal gérée quand même car vraiment pas de stock.
Si les gens continent Ă ĂŞtre aussi chauds je pense que les offres vont vite s'arrĂŞter dans ces magasins...
Au final, l'oreiller est très sympa et très confortable mais ça fait beaucoup de temps et d'énergie dépensés pour un oreiller à 8 €...
je me marre
de voir qu'il puisse y avoir de tels enragés pour un coussin et d'enquiquiner tous le personnel à poser des questions qui ne servent à rien car ils se retrouvent avec différentes versions et après ils râlent qu'il n'y ais pas la marchandise. Il y a des régions ou il y a de véritables jobards ou fadads (provençal)
qui serraient prĂŞts Ă arracher le foie de son voisin
. CĂ craint fort car ils vont tuer la poule aux oeufs d'or
C'est juste le reflet de notre société pourrie... Hier je suis allée au cirque avec mon fils. 3/4 d'heures de train. Un mec s'asseoit à côté de mon fils, téléphone collé à l'oreille, parlant fort. La station d'après, une bonne femme s'asseoit à côté de moi, téléphone collé à l'oreille, parlant fort, une véritable conversation intime comme on a chez soi... Evidemment, j'ai tout entendu, et je me suis amusée à commenter. Après tout, on m'oblige à entendre, autant que je participe. Arrivée en gare, le mec se lève et me dit "vous n'avez pas à écouter mes conversations, si elles vous dérangent, vous n'avez qu'à mettre des écouteurs !" Ben voyons ! C'est aux autres de se prémunir des emmerdeurs, si je comprends bien, mais on peut emmerder tant qu'on veut !
Ensuite, au cirque, en plein milieu des numéros, les gens se lévent, vont chercher des frites, des barbes à papa, répondent à leur téléphone, etc.... Aucun respect pour les artistes. Ah je suis vraiment nostagique du temps où les GSM n'existaient pas, et où j'allais au cirque d'hiver, les gens étaient subjugués pas le spectacle et n'osaient pas lever le petit doigt...